Les cahiers du CREAD
Volume 17, Numéro 57, Pages 43-55
2001-09-06
Auteurs : Ghaïcha Djameleddine .
De nombreux auteurs (Keynes, Fischer, Hicks, Friedman, Modigliani, Allais...) reconnaissent que le taux d'intérêt est un des instruments les plus importants de toute politique monétaire. Un des objectifs de la gestion de ce taux est d'assurer les équilibres économiques aussi bien intérieurs qu'extérieurs et une répartition efficace des ressources financières dans l'économie. Parmi les instruments monétaires (politique des réserves obligatoires et encadrement du crédit), le taux d'intérêt occupe une place centrale dans toutes les politiques mises en oeuvre par les autorités monétaires pour influencer l'activité économique sous ses diverses formes. (Pereire Leite, Sundarajan, 1990). Dans le but d'encourager une croissance basée sur un fort taux d'investissement, de nombreux pays, dont l'Algérie, ont choisi de fixer leur taux d'intérêt à des niveaux relativement bas et de les y maintenir souvent pendant une longue période (de 1970 à 1990 pour l'Algérie). Comparés au niveau de l'inflation, ces taux ont souvent procuré aux épargnants un rendement réel négatif.
système bancaire-politique monétaire-ressources financières- crédits-Banque Centrale
Hamidi Khaled
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pages 249-260.
Yasser Al.mishal
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Kais Khder
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pages 19-39.
لخضر عزي
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ص 63-82.
Wassila Bouabdallah
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Attar Abdelhafid
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pages 33-54.