Les cahiers du CREAD
Volume 17, Numéro 57, Pages 9-41
2001-09-06
Auteurs : Kenniche Mohamed .
En Algérie, depuis les années 70, l'évolution des soldes de la balance courante et de la balance des paiements s'est faite d'une manière irrégulière. Cette évolution n'a pas eu d'impact sur le niveau du taux de change de la monnaie nationale. La valeur du dinar algérien (D.A.) était fixée administrativement sans référence aux variables macroéconomiques nationales (exportations, importations, taux d'intérêt, taux d'inflation, masse monétaire,…etc.) et internationales (taux d'intérêt des eurodevises, taux d'inflation mondiale, …etc.). Un déficit de la balance courante et de la balance des paiements peut s'accompagner d'une appréciation de la monnaie nationale. Ainsi, sur toute la période allant de1971 à 1980, on enregistre à la fois un déficit courant structurel et une augmentation sensible du stock de la dette extérieure; paradoxalement cependant le dinar s'apprécie par rapport aux devises étrangères.
Monnaie-surévaluation-commerce extérieur-dinar algérien-marché parallèle-
Boukerrou Farid
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Djaalab Samira
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Touati Ghiles
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pages 997-1011.
Warda Mezhoud
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Mohamed Achouche
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Bounoua Chaib
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Kerzabi Abdellatif
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