مجلة الدراسات المالية والمحاسبية
Volume 8, Numéro 1, Pages 945-960
2017-06-30

La Gestion Des Crises Dans Le Monde Arabe Contexte Et Défis

Auteurs : Lotfi Mekhzoumi . Hocine Hassani . Issam Jouadi .

Résumé

L’accomplissement du potentiel économique des Etats arabes en mutation convient en prioritairement de la détermination de leurs dirigeants. Néanmoins la communauté internationale, le FMI inclus, est capable d’assurer une prérogative éminente. En tenant compte du repli, il semble formellement que les récentes années nous n’avons pas convenu une pertinente réflexion à l’amplification des crises socioéconomiques et à la dissimilitude des aubaines économiques. Les bouleversements des nations arabes nous ont subséquemment contraints à rétrograder et à remanier nos exhortations de politique économique vis-à-vis des Etats subissant la transformation. Malgré tout notre dynamisme aux alentours de la communauté des pays du monde arabe en transformation, et principalement convoitant le raffermissement macroéconomique et les politiques d’accompagnement de l’essor économique, nous n’avons pas, jusqu’à l’heure, étalé en partie les politiques macroéconomiques et structurelles qui nous s’avèrent primordiales en vue de prémunir l’équilibre et lancer les socles d’une croissance solide, permanent. Les mutations engagées dans les pays arabes ces trois dernières années étaient la locution d’un souffle des habitants à raffermir la représentation et la coopération, cependant également celle d’une désillusion croissante à l’encontre d’un entourage économique où les horizons d’emploi étaient exceptionnels et où les rapports s’avéraient plus déterminantes que le mérite afin d’être capable de jouir des résultats de la croissance économique. À partir de cette période, l’ensemble des nations du monde arabe opérationnalisent leur propre programme de réforme politique et constitutionnelle, néanmoins sont dans l’obligation de guérir des faiblesses macroéconomiques agacées, à cause, notamment, des effets d’une préjudice de la disposition mondiale, régionale et nationale quant à la crédibilité du secteur privé et à la croissance. À court terme, les visions économiques persistent prospères et enclines à des périls baissiers. Dans cette disposition, la conservation de l’équilibre macroéconomique subsistera une primauté haute pour les années ultérieures. Il faut néanmoins que les pouvoirs publics déclenchent encore d’importants plans de réformes pour redonner aux économies nationales plus d’énergies et plus d’activité, pour générer davantage d’emplois et pour permettre des opportunités équitables à toutes les couches sociales. En sautant des réformes économiques et financières enfoncées, la relance économique accentuée ne sera pas suffisante pour garantir dans quelques années une authentique réduction des taux de chômage culminants, notamment omniprésent dans les classes sociales des jeunes et des femmes. Cet exposé tente de bourrer cette déficience et, en procurant les synthèses de notre pensée, nous désirons concourir à la discussion de l’heure portant sur les politiques à adopter dans les Etats arabes concernés par le passage. Nous souhaitons en conséquence que cet article servira comme document essentiel, entre autres, aux autorités et divers meneurs et animateurs des nations arabes en bouleversement, et également à la corporation internationale les escortant; la finalité consiste à rendre souple la conversion économique qui rétorquera aux aspirations et aux attentes des peuples jeunes et actifs de ces Etats.

Mots clés

gestion des crises, monde arabe