جسور المعرفة
Volume 5, Numéro 1, Pages 486-493
2019-03-19
Auteurs : Abdelaziz Radhia .
On a choisi d’aborder dans cet article, concernant deux romans, le premier Nulle part dans la maison de mon père, écrit par Assia DJEBAR et le second Je ne parle pas la langue de mon père, par Leila SEBBAR, le thème « Espaces urbains et autobiographie ». Nous avons constaté que certains événements relatés par les deux narratrices dans les deux romans sont des faits authentiques de leur vie vécue. Et comme, chaque fois, ils sont systématiquement associés à des lieux précis, on a été conduit à s’interroger sur la portée autobiographique des espaces évoqués. Finalement, nous sommes arrivés à la conclusion que toutes les deux ont des liens très forts avec les villes de leur enfance et leur adolescence, et qu’elles ont laissé sur chacune d’elles une empreinte spécifique. Pour Assia DJEBAR, cette dernière sera un sentiment récurrent de nostalgie et de regret, tandis que pour Leila SEBBAR, il s’agira d’un traumatisme profond.
espaces urbains ; ville ; autobiographie ; regret ; traumatisme ; naustalgie
Mokhtari Fatima Zohra
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Mostefaoui Ahmed
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pages 723-734.
Souames Amira
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pages 422-439.
Sarah Kouider Rabah
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pages 9-34.
Bouanane Kahina
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pages 33-46.
Bouhadid Nadia
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pages 191-206.