Timsal n Tamazight
Volume 3, Numéro 1, Pages 57-62
2011-10-01
Auteurs : Ould-braham Ouahmi .
C’est dans une étude portant sur un berbérisant autochtone et à son manuel pédagogique [Ould-Braham 2005 (2003) : Belkassem Ben Sedira et son Cours de langue kabyle (1887)] que je me suis intéressé, dans le cadre de la théorie bourdieusienne de l’habitus et du champ, à un homme (acteur social) et à une œuvre (production de biens symboliques). L’homme est un « indigène », qui s’est fait français dans l’Algérie coloniale du troisième tiers du XIXe siècle, et un arabophone qui a eu le mérite de porter de l’intérêt à la langue berbère, dans sa variété kabyle. En fait, un intérêt pédagogique et scientifque sur berbère suscité par des raisons de carrière tout à fait légitimes. Recruté à l’Ecole supérieure des Lettres d’Alger pour y assurer la charge de cours d’arabe vulgaire, il voulut ajouter à son tableau la maîtrise de conférences de la langue kabyle. A force de travail (enseignement et publications) et de stratégies adéquates il va y parvenir sans difficultés.
Le Cours de langue kabyle de Belkassem Ben Sedira.
Bekadja Mohamed-amine
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Mansour Belkacem
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Ouldjeriouat Hafida
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Entasoltan Badra
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Osmani Soufi
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Amani Kamila
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Bouchama Samira
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Charef Leila
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Brahimi Mohamed
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Arabi Abdessamed
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Bouhass Rachid Amar
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Yafour Nabil
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pages 747-754.
Djeghar Achraf
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pages 264-271.
Ait Abdelkader Mohamed Hichem
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Chérifi Kahina
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pages 574-592.
Lanseur Soufiane
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pages 259-278.