مجلة الحكمة للدراسات الأدبية واللغوية
Volume 5, Numéro 4, Pages 23-29
2017-12-01
Auteurs : Mohammed Kassoul .
Le système éducatif algérien est entré dans une phase de mutation profonde avec la mise en place d’équipes de réflexion chargées de mettre en place un dispositif pédagogique performant qui éviterait les déperditions scolaires. La commission nationale « Benzaghou » installée par le ministère de l’éducation nationale avait pour but de réformer l’école algérienne et évaluer les différents parcours de formation de l’apprenant dans un contexte linguistique très complexe. Cependant, le projet de réformes en lui-même se heurte à des résistances très difficiles à cerner. « L’aller et le retour », les tâtonnements, le « rafistolage » sommaire des écritures des programmes ont permis beaucoup plus la démobilisation contre l’échec qu’appellera d’ailleurs Jean Michel CROISSANDEAU dans un article publié dans Le Monde de l’Education n°149 du mois de mai 1998 « Le flou consensuel : vive l’école ! priorité des priorités ! La formation est le moyen de développement économique. Un bon bagage permet de s’adapter aux évolutions de l’emploi. Plus question de laisser sur le chemin un seul exclu du système scolaire (…) Halte à la gestion de l’éducation nationale à la petite semaine, piégée par une vision politique à courte vue : il faut programmer, sur plusieurs années, l’effort à fournir. Pas question non plus de laisser les enseignants dans une situation financière aussi peu convenable qu’aujourd’hui. Pour rendre justice aux professeurs actuellement en fonction, et pour attirer leurs successeurs, le mot d’ordre est partout : re – va – lo ri – ser la situation morale et matérielle des maîtres »
Les réformes, l’apprenant et le contexte linguistique algérien.
Berkani Dalila
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pages 383-407.
Bentaallah Nassima
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pages 59-63.
Ben Brahim Hamida
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pages 52-76.
Ben Mebarek Bensalem
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Lalileche Nadir
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pages 187-199.
Belkacem Hind
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pages 87-101.