مجلة المواقف
Volume 4, Numéro 1, Pages 371-386
2009-12-31
Auteurs : Ouddène Boughoufala .
En cas général, dans l’Algérie ottomane, les tribus avaient joui collectivement de la propriété foncière, ils l’exploitèrent de cette manière comme un espace de pâturage ou d’agriculture depuis des siècles et par des générations successives (GALLISSOT, R. 1965: 15-17). Cette peuplade ou l’autre a pris l’immobilier puisqu’il le trouve vacant sans propriétaire, soit parce qu’il n’était jamais exploité, soit parce qu’il était abandonné par son propriétaire pour des raisons sécuritaires (Robe, E. 1985: 36). Et par le même aspect; ces tribus présentèrent comme une source de force économique et de prélèvement des impôts; ils présentèrent aussi un danger qui menace la sécurité et la stabilité. Le Bâylik de Tîţrî a beaucoup souffert en particulier de la rébellion des tribus et de leur désobéissance (BELHAMISî, M. 1972: 295-337), mais les antagonistes n’était pas toujours le Bâylik seulement, cependant il y avait aussi la contestation entre les tribus et les groupes eux-mêmes. La propriété immobilière était le sujet de conflit, comme ce qui est passé entre Al-Ashrâf d’Awlâd sîdî Yahyah et Al-Labâbidah à propos des terrains situés à Waţan Banî Ja’d au Nord-Est de la ville de Médéa.
Ottomane; Tribus; Le Bâylik de Tîţrî; Médéa; Impôts
Ouddène Boughoufala
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ص 04-10.
Yahiaoui Hakim
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pages 540-554.
Chenaker Zakia
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Zaibet Nourreddine
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pages 543-564.
Bakhouche Zouhir
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Ikherbane Mohand Akli
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pages 583-602.
Mounira Abdel Hariz Tarchoun
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pages 91-118.