الخطاب
Volume 8, Numéro 16, Pages 35-44
2013-12-01
Auteurs : Chaouati Amel .
Assia Djebar compte parmi les premières rares femmes écrivains et intellectuelles en Algérie au lendemain de l’Indépendance. Elle est également la première femme à réaliser un film cinématographique. Partant d’aucun héritage proprement algérien, elle a su ouvrir la porte aux nouvelles générations d’écrivains et cinéastes de plus en plus nombreux. Malgré l’absence de son œuvre littéraire dans les librairies pendant de longues années et l’indisponibilité de ses deux films cinématographiques, l’influence de son travail et sa trace se trouvent incontestablement présents d’après les témoignages de quelques intellectuels à l’instar de la romancière Maïssa Bey, de l’essayiste Wassyla Tamzali et de la cinéaste Habiba Djahnine et bien d’autres. La communication que je souhaiterais présenter sera le résultat d’un travail d’entretien que je mènerai avec quelques intellectuels algériens de générations différentes afin de repérer de quelle manière cette œuvre a contribué à leur vie intellectuelle et à la vie intellectuelle de la société algérienne.
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Chaouib Fatiha
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pages 75-84.
Grine Medjad Fatima
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pages 165-168.
Bengaffour Nawal
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pages 202-210.
Selka Nadjiba
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pages 347-356.