Les cahiers du CREAD
Volume 12, Numéro 42, Pages 103-119
1996-09-17
Auteurs : Moussa Fatima . Belkacem Ourida . Boumghar Leïla .
La crise que traverse actuellement l'école algérienne, du fondamental au supérieur, ne cesse de susciter des questions à des niveaux divers : social, économique, politique. Des grilles de lecture multiples nous permettent déjà d'approcher ce phénomène dont l'ampleur devient de plus en plus préoccupante. A l'origine, sont soulignés l'effet de masse de la démocratisation de l'enseignement induisant une absence de scientificité, l'absence de moyens mis en oeuvre dans le secteur de l'éducation, enfin des réformes [2] n'ayant pas toujours pris en compte l'enseignant et qui ont pour conséquence une certaine démobilisation de l'encadrement. Mais il serait illusoire d'expliquer le phénomène de la déperdition scolaire uniquement par le biais de cette argumentation. D'autres facteurs, tant intrinsèques qu'extrinsèques, restent à mettre en évidence. La présente étude se donne pour objectif d'en définir quelques uns afin de proposer des interventions plus adaptées aux problèmes que posent l'éducation et l'échec scolaire en Algérie.
école,enseignement ,échec scolaire, Algérie
Zouad Admane Dalila
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pages 174-184.
Aziz Khaled
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Arrar Salah
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pages 55-63.
Segueni Fadhila
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Leghima Amina
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pages 3-14.
Amar Abdelhak
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pages 879-893.